31 mars 2023

Ian-Thomas Bélanger - itbelanger@medialo.ca

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©Minière Osisko

Vue aérienne du site aurifère Windfall, situé à environ 115 kilomètres à l’est de Lebel-sur-Quévillon.

L’entreprise a remis son rapport auprès du Comité d’examen des répercussions sur l’environnement et le milieu social (COMEX), qui analysera le document avant de transmettre ses recommandations au sous-ministre du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) du Québec.

Ce dernier émettra ensuite, si la recommandation du COMEX est positive, un certificat d’autorisation à Osisko afin que la compagnie puisse aller de l’avant avec la construction des infrastructures de la future mine d’or.

« En déposant l’EIE du projet Windfall, nous franchissons un jalon important dans le processus menant vers notre objectif de mettre en production une nouvelle mine d’or dans la région d’Eeyou Istchee Baie-James. Osisko amorce ce processus en étant pleinement conscient de l’importance du rôle et des responsabilités du promoteur dans le cadre du processus d’examen du COMEX. La Société s’engage à livrer, en toute transparence, un projet robuste et respectueux de l’environnement pour toutes les parties prenantes et à fournir rapidement toutes les informations requises à propos du projet », a souligné le chef de la direction et président du conseil d’Osisko, John Burzynski, par voie de communiqué.

L’entreprise soutient que le projet Windfall devrait créer 17 120 emplois équivalent temps complet au Québec d’ici 2035 (emplois directs et indirects), dont 10 256 dans les régions d’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec.

Il s’agit d’un investissement de 3.5 milliards de dollars, incluant une somme de 83 millions de dollars réservée pour les futurs coûts de restauration.